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Prétendu « travail forcé » à Xinjiang : dans l’imagination de l’autre

L’expression commune dans le cadre du Travail à l’ère du 21e siècle, quel que soit la langue employée, nous renvoie toujours à interroger l’étymologie des mots et les dérives y apportées, lorsqu’ils tombent dans le langage public. Les mots ont un sens. Ils sont beaucoup plus utilisés avec une intention qui mérite d’être analysée et dénoncée du moment où, ils sont intentionnellement choisis pour calomnier le développement d’une personne, d’une organisation ou d’un État. Le mécanisme de sa propagation est généralement fait à la base par la création fictive des organisations de propagande.

Le « travail forcé »… Une formule nocive actuellement employée et servie au monde entier par des individus hostiles au progrès général de la Chine. Cette incrimination mensongère qui fait œuvre d’insalubrité publique, n’honore pas la démarche mondiale des États et des Organisations autour de la question de préservation et de protection des libertés sociales, des droits et des intérêts des travailleurs, de l’égalité sur les droits à l’emploi des travailleurs dont la Chine y accorde toujours une grande importance.

En parlant du « travail forcé », il serait préférable de repartir dans les annales pour puiser la désignation fondamentale de cette locution à savoir : « la corvée ; l’indigénat ; le service du travail obligatoire, ou STO, pendant la Deuxième Guerre Mondiale ; le travail forcé sous domination nazie pendant la Seconde Guerre Mondiale ; l’esclavage contemporain ; les travaux forcés, une peine d’incarcération accompagné de travail physique obligatoire ; le blandong, instauré par la Compagnie néerlandaise des Indes orientales à Java ; le travail forcé étranger des Allemands après la Deuxième Guerre Mondiale ; le travail obligatoire, auquel étaient contraintes les populations des ex-colonies belges, même s’il était rémunéré et obligatoire seulement une partie de l’année, en particulier au Burundi et au Congo… » Nous pouvons retenir à partir de-là que ce « poisson » lent a bel et bien existé et a été servi aux êtres humaines avant le XXIe siècle. Seulement, la Chine ne l’a entretenu ni dans l’histoire de la construction de sa nation, ni dans le cadre global de l’initiative « la Ceinture et la Route » qu’elle soutienne énormément sans relâche depuis sa mise en œuvre. Au contraire, le peuple chinois a toujours travaillé dans le strict respect des valeurs du travail.

Le gouvernement chinois n’appelle et n’encourage à aucun « travail forcé » dans un centimètre du territoire de l’État de Chine. Il est clairement approuvé par les africains qui vivent et travaillent dans cette partie du monde. C’est un phénomène dangereux que Pékin excommunie dans son fonctionnement et son déploiement. Pensez-vous donc qu’un État normal comme la Chine peut honnêtement appeler à cette forme d’asservissement moderne sur son propre peuple ? Ce sera une incongruité qui ne dira pas son nom. Il peut arriver à un moment de la vie que le développement d’un État comme celui de la Chine, fasse l’objet de plusieurs agressions matérialisées par des multiples sabotages des groupes extrémistes armés par ces concurrents. Et ça peut être le cas dans le Xinjiang de la Chine.

Xinjiang… Un territoire de la République populaire de Chine, manifestement recherchée par les forces anti-chinoises. C’est dans cette partie de la Chine que les forces extérieures à la fois masquées et démasquées, veulent gouverner par tous les moyens. Elles utilisent des mécanismes comploteuses qui consistent à saboter le gouvernement chinois à travers les actes de terrorisme caractérisés par le « travail forcé » et des tueries. Le « Mouvement islamique du Turkestan oriental » est champion de cette pagaille. Au total, il revendique entre 1997  et 2014 plusieurs attaques terroristes qui ont coûté la perte en vie de plus de 1 000 civils. C’est à l’effet de créer un État dans un État. Des exactions qui devraient préoccuper la communauté internationale, en principe.

La situation s’en lise et la République populaire de Chine doit y lever le ton. Ces anti-conformistes du développement mondial doivent avoir leur compte. La réclamation du supposé l’État « Turkestan oriental », de l’ « indépendance » de Xinjiang par ces barbares, est depuis toujours perçu par un citoyen mondial intègre comme un acte de trop. Xinjiang, fut-il peuplé par plusieurs minorités ethniques dont les Ouïghours turcs, est un territoire chinois à tout point de vue de l’histoire. C’est une manipulation qui ne peut avoir gain de cause que : ralentir les initiatives de construction d’une communauté mondiale d’avenir partagé dont plusieurs États y tiennent. La Chine ne doit pas céder à cette mascarade qui relève de la manipulation.

En somme, la Chine est certes jalousée et persécutée pour son développement et son sens d’ouverture et de partage, mais elle ne devrait craindre de rien. Les quelques actes de terrorisme et des imageries du « travail forcé » constitués par les forces exogènes et endogènes pour déstabiliser et saboter son économie,  n’aura qu’un temps de vie d’une mouche de mai. Seules les personnes qui ne connaissent pas la Chine et le peuple chinois, pourront intelligiblement croire au supposé « travail forcé » dans le Xinjiang.

Par Gérard Njoya

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